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Réflexion - Action - juin 2022 - Archives -
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Emmanuel MACRON, fils de médecins, est né à Amiens (Somme) le 21
décembre 1977. Aîné de la fratrie, il a un frère et une sœur. Il suit sa scolarité chez les
Jésuites de la Providence, Lycée Catholique à Amiens. Après un bac S, il entre à
hypokhâgne et khâgne B/L au Lycée Henri IV à Paris, et intègre Sciences Po
Paris en 1998. En 1999, il est
l’assistant du philosophe, enseignant, Paul Ricoeur. Après avoir appartenu à l’ENA
de Strasbourg (promotion Léopold Sédar Senghor) en 2002, il intègre le
corps de l’Inspection des finances en 2004, puis devient banquier
d’affaires chez Rothschild et Cie en 2008. Il travaille sur divers
dossiers importants, comme le rachat de Cofidis par le Crédit mutuel,
sur la vente du journal Le Monde, ou encore le rachat de certaines activités de
Nestlé par Pfizer. En octobre 2007, il
épouse Madame Brigitte Trogneux, professeur de français, rencontrée en classe
de première à Amiens, lors d’un atelier de théâtre. Brigitte TROGNEUX est née le 13
avril 1953 à Amiens. Fille d’un couple de chocolatiers. Durant 12 années, elle
enseigne dans sa ville d’origine. Elle anime également le club de théâtre au
sein du Lycée La Providence, auquel participe Emmanuel Macron (ce dernier
affirme d’ailleurs que son goût pour la littérature est né, en grande partie
grâce à cette femme de lettres). Elle est mère de trois
enfants, Sébastien, Laurent et Tiphaine, nés de son union avec André-Louis
Auzière, épousé en juin 1974. Ce dernier est décédé en
décembre 2019. En 2007, Brigitte
Trogneux intègre, avec grand bonheur, le Lycée parisien
Saint-Louis-de-Gonzague… et c’est la même année, en octobre, qu’elle épouse
Emmanuel Macron. Le mariage, en présence de l’ancien premier ministre Michel Rocard,
est célébré au Touquet, où le couple se rend régulièrement pour se retrouver en
famille. En 2014, Madame Macron
met un terme à sa carrière d’enseignante. En mai 2017, elle est
la première Dame de France. Elle succède, en juin 2019,
à Madame Bernadette Chirac à la présidence de la Fondation Hôpitaux de
Paris-Hôpitaux de France. Son époux, le Président de la
République, chanoine de Latran, participait à une messe (enterrement de Johnny
Hallyday) dans l’église de la Madeleine, monument religieux. Il a seulement
posé ses deux mains sur le cercueil. Madame Macron l’a béni, avec le goupillon,
comme il se devait. Car refuser ce dernier hommage à celui que le Président
Macron considérait comme un héros national, n’est-ce pas aussi admettre que sa
foi n’avait aucune importance ? En tout cas, voilà où nous
mène une laïcité républicaine mal comprise. Charles de Gaulle, Georges
Pompidou, Valéry Giscard d’Estaing n’ont jamais refusé de faire le signe de
croix, signe de leur foi, lorsqu’ils occupaient la plus haute charge de
l’État…. Décidément, ceux qui nous gouvernent aujourd’hui ne pratiquent-ils pas
une laïcité au petit pied. Pire : une laïcité boiteuse, pour ne pas dire
d’unijambiste ? s’interroge Boulevard Voltaire. Un temps membre du Parti
socialiste, Emmanuel Macron est considéré comme social-libéral (il milite
pour le Mouvement des citoyens, le micro-parti de Jean-Pierre Chevènement, pour
se rapprocher ensuite de Michel Rocard, en 2002, la figure historique de
l’aile droite du Parti socialiste). Il exerce sa première fonction
politique en mai 2012 en devenant secrétaire national adjoint de la
présidence de la République Hollande. Il participe
notamment à la mise en place du Pacte de responsabilité et du Crédit d’impôt
pour la compétitivité et l’emploi (CICE). En août 2014, il
remplace Arnaud Montebourg au ministère de l’Economie, de l’Industrie et du
Numérique dans le second gouvernement socialiste de Manuel Valls. A 36 ans, il
est le plus jeune ministre à ce poste depuis Valéry Giscard d’Estaing. Visage libéral du
gouvernement, il prône l’assouplissement des réglementations y compris
salariales. Il travaille en étroite et
parfois difficile collaboration avec Michel Sapin, ministre des Finances et des
Comptes publics. La loi développement le
travail le dimanche, qui porte son nom, suscite la polémique en février
2015. Elle a même dû être adoptée en
force à l’Assemblée Nationale, via l’article 49.3 de la Constitution. Il crée, en avril 2016, son
mouvement En Marche ! Le 30 août 2016, il
quitte le gouvernement en raison de ses ambitions d’accéder à la présidence de
la République. Il annonce, son épouse à ses
côtés, le 16 novembre, sa candidature à l’élection présidentielle. Depuis, jamais sous la Vème
République, un postulant au siège élyséen aura bénéficié d’une telle campagne
de communication. Dès lors, on comprend pourquoi la nouvelle coqueluche de
notre système politico-médiatique n’a pas besoin d’avoir derrière lui un
appareil politique. Il rassemble, sans que cela lui coûte un euro, l’ensemble (ou
presque) de la presse nationale et des milieux financiers… Il continue
d’engranger les ralliements : toute la « hollandi », François
Bayrou, Gérard Collomb, Pierre Bergé, Jacques Attali, Alain Minc, Line Renaud,
Geneviève de Fontenay… Il prétend surtout qu’il n’est d’aucun parti. L’homme-tout-et-rien, qui
est tout parce qu’il n’est rien et inversement.
L’homme désincarné, sans racines, sans parti, sans idéologie. CE QU’IL FAUT à
LA MONDIALISATION. Il est aussi celui qui ne reconnaît pas la culture française et rejoint
Madame Taubira dans son combat pour la repentance sous toutes ses formes. Il y a du prestidigitateur
dans cet homme écrivent certains
auteurs dans Bd Voltaire, en mars 2017. Lors du premier tour, le 23 avril 2017, il
arrive en tête avec 24.01 % des voix devant Marine Le Pen
21.30 %, François Fillon 20.01 % et Jean-Luc Mélenchon 19.58 % -
votants 77.77 % et abstention 22.23 % - Le 7 MAI, avec 25.44 %
d’abstention, il remporte l’élection présidentielle avec 66.10 % des
suffrages (VOIR TABLEAUX ET GRAPHIQUES
DES RESULTATS dans Réflexion/action N° 2). Inconnu, il y a trois ans,
doté de culot et de détermination, le nouveau Président de la République
française vient de réaliser un incroyable exploit politique. Il devient, à
39 ans, le plus jeune Chef d’État. En Corse, au premier tour, il
arrive 3ème avec 18.48 % des voix derrière François Fillon et Marine Le
Pen. Au second tour, il gagne d’une courte tête (51.48%). Sa promesse : je ne
veux pas gouverner, je veux présider. Il compte surtout améliorer
la compétitivité de la France. Libéral assumé, saura-t-il
déléguer tout en voulant contrôler ? C’est une délégation de
fonction, pas de pouvoir. Sur le moment, Emmanuel
Macron ne donne jamais tort ou raison à personne. Mais, vous vous apercevrez, en apprenant la
décision, à qui il a donné tort ou raison... Son autorité s’impose à
nous, car il a une vision et qu’il a toujours réussi, selon ses proches. L’HOMME NE SE DECOUVRE-T-IL
PAS QUAND IL SE MESURE AVEC L’OBSTACLE ? Selon Elsa Freyssenet toujours,
dans les ECHOS, 3 défis attendent l’Elysée : - le marché de l’emploi qui
envoie des signaux contradictoires ; - un commerce extérieur qui
s’enfonce dans le rouge ; - la réductions des
déficits menacée par la hausse des taux d’intérêt. Et dans Aleteia, René Pujol
écrit : Entre adhésion, scepticisme et opposition, le nouveau Président
de la République va devoir dominer sa victoire pour, comme il l’a annoncé,
« servir avec humilité, force et amour ». Il doit redresser un
pays meurtri par une crise économique, sociale et politique, mais également
culturelle et morale. Les 3 conditions du sursaut
politique peuvent être : - le défi de
l’ouverture, dans la perspective des élections législatives des 11 et 18
juin 2017 (défi tenu et résultat réalisé), - le défi du dialogue
républicain : Emmanuel Macron a-t-il seulement présidé la
République ? et qui a « gouverné » la France ? - le défi de la
refondation de notre vie politique : notre pays est-il encore
aujourd’hui divisé entre une France d’en haut, urbaine, ouverte mais surtout
bénéficiaire de la mondialisation ; et une France d’en bas, une
France périphérique, rurale ou périurbaine, moins « fermée » que
victime d’un modèle économique et sociétal qui se développe sans elle et au
prix de son exclusion ? En 2016, Monsieur
Emmanuel Macron n’affirmait-il pas : « Ce qui a disparu du champ
politique, c’est l’explication ». Sa marque, est donc un souci pédagogique
et un style très démonstratif. Toujours selon un linguiste, l’emploi du « parce
que » est sa signature lexicale. L’usage récurrent « et
donc » traduit son souci de mettre de la cohérence tout au long de ses
discours. Dans toutes ses
interventions , le ¨Président cherche à produire du mouvement, en utilisant le
suffixe « tion » comme dans Révolution (le titre de son livre)
ou « transformation » (le mot le plus utilisé). Son discours est construit
et sa pensée trouve des racines dans celles de son ancien mentor Paul Ricoeur. Certains voient le trait
« d’une communication managériale propre aux cercles des énarques et diplomates d’écoles de commerce »
ayant recours au « projet » ou à l’expression « porter
un projet ». Il s’explique aussi :
« Si être populiste, c’est parler au peuple de manière compréhensible sans
passer par le truchement des appareils, je veux bien être populiste », tout
en stigmatisant les « gaulois réfractaires ». En même temps de
droite et de gauche ou est-il d’extrême Centre, avec son libéralisme
avancé ? Tout au long du quinquennat,
des déclarations intempestives sont, pour lui, une manière de jeter un pavé
dans la mare, pour capter l’attention et garder la maîtrise de l’agenda
médiatique. Discours, le 3 juillet 2017,
à la Tribune de la salle du Congrès de Versailles, où le Président déroule ses
promesses : - retrouver l’esprit de conquête, - redonner à chacun son autonomie, - restaurer une société de
confiance - ou refonder
l’Europe... Selon Hérodote, il se veut
européen convaincu, mais tente de redonner un minimum d’indépendance à la
diplomatie française. Il se proclame DRH (Directeur de Ressources Humaines)
d’un pays transformé en « start-up Nation », mais impose un haut-commissariat
au plan. Il met en avant et promeut
une hypothétique souveraineté européenne, contre le vœu exprimé par les
françaises et français. Du Traité sur l’Union
Européenne (TUE) ou Traité de Maastricht
(entrée en vigueur en 1993), validé de justesse par référendum en 1992 (51 % de oui), au
Traité constitutionnel, rejeté avec force en 2005 (55 % de non),
les citoyens ont clairement exprimé leur inquiétude face à ces abandons de
souveraineté. Onze candidats, à la
présidentielle 2017, affichaient à
différents degrés, leur
euroscepticisme et leur méfiance envers la mondialisation. (VOIR les résultats dans Réflexion /A. N° 2) Seul, le nouveau venu en
politique obtint modestement 18.19 % des inscrits, au
premier tour. Il n’en fut pas moins élu par défaut, avec 43.63 % des
inscrits, grâce à la contre performance de sa concurrente. Il s’offrit une confortable
majorité parlementaire, avec des députés godillots, les 11 et 18 juin 2017. Qu’est-ce que le macronisme
alors ? Dit-on : « macroniste » ou
« macronien » ? un exécutif
macronien ? Des militants macronistes ? Les termes en - iste –
sont-ils des termes de guerre ? Et en – ien – désignent-ils
la paix ? En 2017, Emmanuel
Macron voyait le monde à travers le prisme des chefs d’entreprises et des hauts
fonctionnaires... Avec le Premier ministre
Edouard Philippe, issu de la droite et aussi libéral que lui, le Président
Macron imposa : . une réforme du Code
du Travail, par
ordonnances : c’est la réglementation qui a changé, avec un dispositif
ambitieux : - en donnant la capacité aux entreprises de
s’extraire des accords de branches sur des sujets comme le temps de travail, - en sortant des 35 heures
et en s’adaptant… + Les indemnités
prud’homales ont été plafonnées, les instances représentatives du personnel
simplifiées, les négociations salariales privilégiés au niveau de l’entreprise. (Le barème des indemnités
prud’homales semble faciliter l’embauche dans les PME) ; . une réforme sur le capital, la
fiscalité a été allégée : - suppression de l’Impôt de
Solidarité sur la Fortune (ISF) transformé en Taxe sur la Propriété Immobilière
(TPI) . (Cette dernière a-t-elle mis fin à la fuite de
personnes s’installant dans un pays à la fiscalité plus douce ?) - baisse de la taxation des
revenus du capital, baisse de l’impôt sur les sociétés de 33.3 % à
25 % ; + le lancement, en automne 2017, de pourparlers
avec les syndicats sur l’assurance chômage… Le 15 septembre, deux lois de
moralisation de la vie publique : - restrictions à l’emploi
de collaborateurs familiaux par les élus, - interdiction aux élus
d’exercer des activités de conseils… + De nouvelles règles au 1er
octobre de l’Allocation personnalisée au logement (APL), de l’Allocation de
logement à caractère social (ALS) et de l’Allocation de logement à caractère
familial (ALF), avec changement de calcul des APL en 2021... + La fin de la Taxe
d’habitation sur la Résidence principale prévu en 2023... Après ce premier acte
« allegro » est venu le deuxième acte « moderato », le
temps des ajustements selon Jean-Marc Vittori dans Les Echos/l’audit de la
France. En 2018, la réforme de
la SNCF, ouverte à la concurrence, votée, le 17 avril, par l’Assemblée
Nationale. Ces mesures expriment ses convictions européistes. Une réforme
pour interrompre le recrutement sous
statut de fonctionnaire… + La baisse d’effectifs dans la police et la
gendarmerie, ainsi que le non renouvellement, sous prétexte d’économie, de
nombreux moyens matériels indispensables, mais des investissements dans les
radars de dernières générations. Devra-t-on attendre que la criminalité dans
notre pays tue autant que les accidents de la route pour agir ? + L’Armée n’est pas équipée
pour le retour de conflits entre grandes puissances... Dans la loi de finances
pour 2018, l’instauration du
prélèvement forfaitaire unique (PFU) relève d’un allégement de la taxation des
revenus du capital (dividendes, plus-values mobilières...) + transformation du crédit
d’impôt compétitivité emploi (CICE) en baisse de cotisations
sociales ; + le changement des règles de
l’assurance-chômage... + L’allègement du BAC ; + l’amorce de sélection à
l’université (Parcours Sup) ; en matière de sécurité : + de nouvelles dispositions
dans le droit pénal ; + la fin du projet d’aéroport ND
des Landes, feuilleton vieux de plus de 50 ans et contesté, parfois avec
violence par les… écologistes ! + L’affaire Benalla contraint
Emmanuel Macron à abandonner la réforme des Institutions... A la fin de l’automne 2018,
la jacquerie des gilets jaunes pousse le
Président de la République à lancer un tour de France des maires, un
grand débat national (VOIR mes propositions) auquel prendront part 2
millions de personnes, puis la Convention
citoyenne pour le climat, un exercice démocratique inédit… et le suivi
où en est-il ? De nouvelles mesures sociales
ont vu le jour comme le relèvement de la prime d’activité perçue par des
salariés à petits revenus, le versement des pensions alimentaires garanti par
la Caisse d’allocations familiales... + La rénovation des
retraites en lançant un nouveau système à points avant l’été 2019, qui pose problème
pour supprimer les 42 régimes spéciaux actuellement en vigueur. Les syndicats
rejette cette réforme. La grève des transporteurs en fait partie… Certains se disent :
« Et si ça repartait comme en 95 ? » Le 15 novembre, le premier ministre d’alors,
Alain Juppé, présente devant l’Assemblée Nationale (les députés applaudissent debout…) son grand plan de
réforme de la Sécurité Sociale et des retraites. Un projet de restructuration
de la SNCF est proposé aux cheminots, qui sont outrés. Le 24 novembre, la grève
est déclarée et durera 3 semaines. Le 12 décembre, presque 2 millions de
personnes défilent dans les rues. Le gouvernement recule et
retire la réforme des retraites. Celle de l’assurance maladie passe par
ordonnances. Aujourd’hui, la réforme sur
l’Apprentissage (700 000 apprentis), redonne aux entreprises la
liberté de créer leurs Centres de formation… En 2019, le Président
demande d’arrêter la Centrale nucléaire de Fessenheim, qui fermera en 2020 ! Ne devons-nous pas plutôt
: - stopper la frénésie de
constructions d’éoliennes et de capteurs solaires, coûteuse, qui nécessite
parallèlement la mise en service de Centrales thermiques, génératrices de ces
gaz proscrits, ce qui est un comble ! - pérenniser le recours
nucléaire qui reste, à l’horizon visible, avec l’hydraulique, la seule source
d’énergie permanente et non génératrice de gaz (en France, 75 % de l’électricité consommée
provient des 56 réacteurs nucléaires encore en activité sur le territoire) ; - amplifier la recherche
dans tous les domaines qui touchent la production d’énergie et sa
conservation ; - lever les interdictions
d’exploitation et de production d’hydrocarbures à partir de schistes sur notre
sol, sinon, demain, en attendant le jour béni de l’énergie 100 % propre – paradoxe absurde –
nous importeront du pétrole américain produit justement à partir de schistes bitumineux. Roland Dubois Boulevard
Voltaire ajoute : les françaises et les
français comprennent l’écologie qui les touche de près, l’écologie raisonnable,
c’est à dire expurgée des mensonges distillés en permanence… + La scolarisation obligatoire
à partir de 3 ans ; + le dédoublement des
classes de CP et de CE1 dans les
quartiers défavorisés... En santé, instauration du « reste
à charge zéro » pour aboutir en 2021 avec le « plan
100% santé » déployé sur l’ensemble des 3 secteurs : optique, dentaire,
audiologie… + En mai 2019, la
loi Pacte (Plan d’Action pour la Croissance et la Transformation des
Entreprises) ouvre la voie à une privatisation de la FDJ (Française Des
Jeux) ; + la dynamisation de la
« start-up nation » ; + l’augmentation du nombre
de salariés dans les conseils d’administration… L’arrivée du Covid a débouché sur un troisième acte très différent,
passant brutalement de la réforme alanguie à la gestion frénétique – emportant
au passage tout projet de changement sur la retraite. En 2020, pour éviter
l’engorgement des hôpitaux, le gouvernement a ordonné l’arrêt de larges pans de
l’économie. Et il a ouvert en grand, pour les entreprises, les vannes budgétaires. Près de 150 milliards d’euros ont été injectés en mesure d’urgence, chômage partiel, plans de relance et autres dispositifs - fonds de solidarité et prêt garanti par l’État (PGE) au profit des entreprises pénalisées par la pandémie du Covid19 et par les restrictions -. Le pilotage par le haut de la crise sanitaire (Conseil de défense, Comité scientifique…) montre que l’horizontalité n’est pas dans l’ADN de cet homme de pouvoir. L’épidémie oblige à
confiner le pays pour éviter l’embolie du système hospitalier et un désastre
sanitaire : - du 17 mars au 10 mai
2020, le premier confinement, + le 2ème confinement du
30 octobre au 14 décembre 2020, (et le 3ème du 3 avril
au 2 mai 2021). Le Président assure
« la santé gratuite et l’État providence, ce n’est pas des coûts ou
des charges mais des biens précieux » ; Il promet désormais de
soutenir le pays « quoi qu’il en coûte ». Cette mise en œuvre de la
formule « Quoi qu’il en coûte » a été prononcée 3 fois par le
Président de la République dans son discours du 21 mars 2020. A-t-elle été un succès
malgré le non aboutissement au plein- emploi ? La réforme de l’hôpital se résume
en 4 piliers : - revaloriser les
personnels médicaux et paramédicaux, - investir en revisitant le
« Plan hôpital » de 2009, + le Pacte « qu’on
doit réussir, souplesse et innovation », - partir d’une logique
sanitaire et non plus d’une logique budgétaire... On peut lui reconnaître une
certaine constance, selon La Croix. A commencer par une
priorité donnée à l’innovation technologique, seule solution, à l’heure de la
mondialisation et du défi climatique, pour que la Nation reprenne en main son
destin. En septembre, devant les
entrepreneurs , il engage le tournant de la 5 G (et en 2021, le Plan de
relance, pour 2030, de 100 milliards d’euros). Autre ligne directrice, le
sociétal, l’ouverture de la PMA (Procréation Médicale Assistée ou Assistances
médicales à la Procréation (AMP) à toutes les femmes, qui a été adoptée par sa
majorité parlementaire, ainsi que l’allongement des délais de recours à l’IVG (Interruption Volontaire de Grossesse ou avortement) en février 2022, plus la contraception
gratuite pour les femmes jusqu’à 26 ans… Au sein de LREM (La
République En Marche), sur les questions éthiques, le progressisme
l’emporte sur le conservatisme. Il en sera de même pour le
sujet de la fin de vie, qui sera abordé à la prochaine mandature… De même, une réforme du
Lycée professionnel et des expérimentations pour l’autonomie des Etablissements
ont été évoquées… Une proposition d’augmenter
les rémunérations des enseignants, conditionnée à « la définition de
nouvelles missions » comme le remplacement des professeurs absents ou un
suivi « plus individualisé » des élèves… Derrière le
déremboursement de l'HOMEOPATHIE, le 01/01/2021, une guerre de lobbying signale
un média. Agnès
Buzyn, ministre de la santé, souhaite une autre approche de la médecine... Elle
n'a qu'à demander conseils aux vétérinaires si l'homéopathie est un placebo ! Ces
granules, ces doses, ces solutions... ne calment, et même ne soignent-elles
pas les animaux, donc nous aussi ? En 2021 : - la loi climat, qui
traduit une partie des propositions de la Convention citoyenne ne
devait-elle pas être inscrite dans la Constitution ? - Pour lutter contre le radicalisme (séparatisme
islamiste), pour enrayer le fanatisme religieux et renforcer la laïcité, une
loi confortant le respect des principes de la République a vu le jour, ainsi
qu’une loi Sécurité globale. Des journalistes et des organisations de
défense des Droits de l’Homme dénoncent une attaque contre la liberté d’expression
et la liberté de la presse… - La nouvelle réforme de
l’Assurance chômage entre en vigueur le 1er décembre. Le premier
ministre Jean Castex y tenait vis à vis des + ou - 3 millions de chômeurs… La promesse d’une loi
« grand âge » compte parmi les chantiers non aboutis du
quinquennat. Le Président est à cet égard
« le symptôme d’une époque régie par un impératif de l ‘adaptation
permanente ». Ce quinquennat est-il dans
la tradition d’un social-libéralisme dans la veine du giscardisme ou du rocardisme ? La double crise, sociale
puis sanitaire, aura contraint le Chef de l’État à évoluer, à repousser la
controversée réforme des retraites et à renforcer le volet social de son
action. A l’image de la loi sur le séparatisme d’août 2021, il est
ainsi resté durant cinq ans sur la ligne d’un républicanisme libéral, attaché à
l’Histoire mais ouvert à la diversité culturelle. Durant cette période
marquée par par de nouveaux attentats (à la Préfecture de police en octobre 2019,
l’assassinat de l’enseignant Samuel Paty et l’attaque à la Cathédrale Notre
Dame de Nice en octobre 2020…), le Président a renforcé la lutte contre
l’islamisme tout en refusant de stigmatiser l’islam. « « Le port du
voile dans l’espace public n’est pas mon affaire », prenant le contre-pied
d’une déclaration de son ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer. Une grande partie de
notre mal-être ne vient-il pas du fait que le débat politique se concentre trop
souvent sur les conséquences des
problèmes et non sur les causes ? (La cause est un fait qui entraîne un autre fait = la
conséquence. La conséquence est un fait
qui résulte d’un autre fait = la cause). Il est le premier
président à s’être largement émancipé des enjeux idéologiques, envoyant des
signaux de gauche et de droite en fonction
des circonstances. Selon Hérodote, comme le
Président Giscard-d’Estaing, le Président Macron ambitionne de gouverner au
Centre en voulant adapter la France au monde. Avec la crise sanitaire
liée au Covid, il a dû diriger, au début de l’année 2020, un pays
à l’économie quasiment à l’arrêt pendant plusieurs mois, obligeant le libéral
qu’il est à appeler l’État à la rescousse pour soutenir les victimes des dégâts
économiques. La croissance a, certes,
repris en 2021 (+ 6.8 % selon l’OCDE) mais nous ne sommes
pas revenus au niveau d’avant crise. En 2021, le déficit
de la balance commerciale était de 84.7 milliards d’euros. La France est passée de la
2ème à la 5ème place des producteurs automobiles, passant de 3.33 millions de
véhicules à 1.3 millions. Au 31 décembre 2021,
la dette publique française s’élevait à 2 813 milliards d’euros, soit
112.90 % du PIB (Produit Intérieur Brut). Elle a bondi de 540 milliards au
cours du quinquennat d’Emmanuel Macron. Elle a donc explosé : elle passera
le cap des 3 000 milliards d’euros en 2022. Pourrait-elle ainsi dériver
entre 130 et 140 % du PIB à l’horizon 2030 ? Notre PIB, c’est à dire la
richesse de la France, a crû bien moins vite que notre dette. Au moment où l’impératif de
la sécurité est une préoccupation majeure, il est essentiel de rappeler que la
dépendance financière est tout aussi dangereuse que la dépendance énergétique,
technologique ou alimentaire. La maîtrise de la dette
publique est une condition première du rétablissement de la souveraineté nationale.
Elle est indissociable d’une réforme radicale de l’État, nous dit Nicolas
Baverez dans Le Point. Notre pays ne reste-t-il
pas le plus imposé de l’OCDE (Organisation de Coopération et de Développement
Economique) - avec le Danemark - celui
dont les dépenses publiques et les dépenses sociales sont les plus
élevées ? Pourtant, les françaises et
les français ne lui ont-ils pas fait confiance surtout pour redresser les
comptes du pays et les rassurer sur l’économie ? Déficit, endettement,
dépenses publiques : la France est-elle au bord du gouffre ? (VOIR LES TABLEAUX ET GRAPHIQUES dans
INFOS/Actualités et COUP de GUEULE) Sur le plan éthique, le
Président Macron a laissé voter l’allongement de la possibilité d’avortement à
14 semaines quand le fœtus est un bébé ou l’avortement thérapeutique jusqu’à 9
mois en cas de « détresse psychologique » - mais jamais n’est
envisagée la perspective de l’adoption ; PMA pour toutes, c’est à dire
légalisation de la programmation d’orphelin de père… Le 17 janvier 2022,
la loi Veil encadrant la dépénalisation de l’IVG en France est promulguée. Depuis la « Manif
pour Tous », les électeurs de droite ne se sont pas réveillés pour
rendre compte des valeurs fondamentales de notre société ! C’est le 23 juin 2016, que
le Royaume-Uni (Grande-Bretagne, c’est à dire l’Angleterre, le Pays de Galles
et l’Ecosse + l’Irlande du Nord) a voté pour sortir de l’Union Européenne
(Brexit ou British exit). Le 31 janvier 2020, les 66 millions de
Britanniques quittent officiellement l’U. E. Au Parlement européen à
Strasbourg, l’Union Jack ne flotte plus aux côtés des drapeaux des 27 autres
Etats membres. Au 1er janvier
2022, et pour 6 mois, la France
préside le Conseil de l’Union européenne. La responsabilité de faire aboutir
des projets et des lois pour l’Europe est d’abord une fierté. Celle de pouvoir
dire « nous agissons en européens » . Le 19 janvier 2022,
Emmanuel Macron a proposé l’inscription de l’IVG dans la Chartre européenne des
droits fondamentaux. Dans cette crise, l’Europe
a su faire face, fidèle à son modèle. Aucun espace politique n’a
autant vaccinés sa population, tout en faisant don du plus grand nombre de
vaccins au monde, et aucun autre n’a protégé autant ses citoyens du chômage et
des faillites. Notre Président de la
République française a toujours été un Européen convaincu. Il est
actif sur la scène internationale. Il est un des artisan du récent Plan de relance européen de 750 millions d’euros. Cependant, aujourd’hui
l’Union européenne et l’Euroland souffrent d’un massif désamour… Il atteste l’échec de la
France à développer un vaccin anti-Covid, contrairement au Royaume-uni, aux
Etats-Unis, à l’Allemagne, à la Russie et à la Chine. Il a essuyé le revers de
l’annulation du contrat des sous-marins australiens, sous la pression des USA,
« preuve que la France n’est qu’un partenaire marginal pour
l’Administration Biden ». D’un abord jovial et d’un
mode de vie bourgeois, ne serait-il pas un peu arrogant ? Il heurte les français dans
ses déclarations publiques ou dans ses contacts directs avec eux lors des
déplacements en province. Selon son épouse Brigitte,
certains livres écrits par son mari sont conservés dans les tiroirs... pour le
moment. A-t-il rendu à la fonction
présidentielle une respectabilité monarchique ? Ou est-il un libéral qui se
comporte en colbertiste, un jupitérien qui se fait complaisamment
photographier ? Le macronisme reste une
énigme. Le 3 mars 2022, Emmanuel Macron officialise sa candidature en vue
des Elections Présidentielles, dans la Presse quotidienne régionale. Pour le changement, il
faudra attendre… selon Bd Voltaire. Attendre que l’idéologie,
pour aussi nécessaire qu’elle soit dans le combat politique, soit mise au
service du peuple de façon pragmatique, réaliste et cohérente. + Résister aux assauts du
chômage, du terrorisme, de la criminalité et de la régression sociale qui ne
peuvent, compte tenu des acteurs et des
remèdes envisagés, qu’advenir. Comment convaincre les
françaises et les français de lui confier à nouveau le destin du pays ? Plus question de créer la
surprise comme en 2017 ! Et si Emmanuel Macron n’est
pas réélu en 2022, il sera le plus jeune retraité de France puisqu’il
n’aura que 44 ans… Faudra-t-il que la
République lui verse une pension hors-sol pendant une cinquantaine
d’année ? Monsieur le Président de
la République faites un geste : abandonnez au Trésor Public, donc à nous,
vos scandaleux avantages sonnants et trébuchants. Son entourage ne
cherche-t-il pas de sa possible élection une évidence ? Seule certitude, le
retour de la réforme des retraites, accompagnée d’une réforme de la durée
du travail, qui varierait en fonction de l’âge ; + considérer que le
bien-être des gens passe d’abord par leur donner une formation et un
travail ; + lutter contre les
inégalités ; + voir l’Europe comme
une solution et pas un problème. + ajouter la décarbonation
de l’économie ; + la réparation de
l’hôpital ; + l’accès aux services
publics ; + le budget de la
justice ; + les moyens de la police… Un programme de continuité,
logique pour un Président sortant - d’autant que celui-ci
peut se prévaloir d’avoir été empêché par les crises -. Peut-il promettre pour le
deuxième quinquennat ce qu’il n’a pas su faire pendant le premier, selon
Gauthier Vaillant dans La Croix. Le candidat Macron projette
d’associer davantage le peuple à la vie politique française avec un grand débat
permanent. Gardera-t-il la méthode
lors de la crise des gilets jaunes, avec les cahiers de doléances ? Mais les doléances du Grand
Débat d’alors sont-elles accessibles ? Contiennent-elles des
propositions acceptables et utilisables ? Le peuple, cette année et
demain, sera-t-il plus écouté ? Souvenons-nous : - quand même, depuis la réforme électorale de 2000 aucun
président sortant n’a encore fait un deuxième quinquennat. Il n’est pas du tout certain
que le Président retrouve une majorité parlementaire, dans les 577
circonscriptions (558 sièges pour les départements, 8 pour la Nouvelle
Calédonie et les Collectivités d’outre-mer, 11 pour les français de
l’étranger). - que le système présidentiel
à la française ne permet pas de renvoyer le Chef de l’exécutif (le Président de
la République) devant les électeurs AVANT la fin de son mandat ; au
contraire, en cas de censure de son gouvernement, c’est le Président qui peut
renvoyer les députés devant leurs électeurs. Depuis cette date, par
l’introduction du quinquennat et l’élection des députés dans la foulée de la
présidentielle, les nouveaux élus doivent leur bonne fortune au Président
plus qu’à leurs qualités personnelles. La lettre aux françaises et
aux français, le 4 mars 2022, permet au Président de la République
française d’entrer en campagne pour les présidentielles de 2022, comme
les autres… Il est aussi Président en
fonction de l’Union européenne. A Poissy, il définit son bilan
en se confrontant avec « le terrain ». Au jeu des
questions-réponses, il va retrousser ses manches en économie, relations
internationales, insécurité... Son programme est dévoilé à
Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis, : - un projet d’émancipation
et de progrès, « de faire ce que je dis et de dire ce que je
fais », - l’égalité femme/homme
doit rester la grande cause du quinquennat, - défendre les informations
libres et indépendantes face aux ingérences, - réinvestir dans un modèle
d’armée complet, - refonder le modèle
d’intégration républicaine et lutter contre les discriminations… L’ambition d’Emmanuel
Macron ne se résume-t-il pas à faire deux quinquennats, en attendant sa
nouvelle vie à Bruxelles ? Il avancera dans ce projet
personnel « quoi qu’il en
coûte » pour devenir le
président d’une Europe fédérale dans laquelle, il entend immerger la
France dans une culture d’inspiration américaine. Aujourd’hui, entre un
retour aux fondamentaux (la République française est indivisible, laïque,
démocratique et sociale, avec des droits et des devoirs définis dans la Charte
de l’environnement du 1 mars 2005, et dans la loi constitutionnelle du
23 juillet 2005), aux enjeux du monde de
l’après-Covid et de la guerre en Ukraine, c’est cette vision que le
président-candidat devra élaborer... Le macronisme reste
toujours une énigme. Emmanuel Macron a-t-il
été le Président des ruptures ? Où va notre France recrue d'épreuves, souvent tombée, toujours relevée
? Ce n'est pas en ce premier
trimestre, qu'on en parlera. En attendant des jours
meilleurs, bonnes élections… Emmanuel Macron nous
propose : Ensemble, nous pouvons faire, des 10 et 24 AVRIL 2022, le point
de départ d’une nouvelle époque française et européenne. AVEC VOUS : - pour nos enfants, - pour notre santé, - pour nos aînés, - bien vivre partout en
France, - atteindre le plein
emploi, et mieux vivre de son travail, - planifier la transition
écologique, - une France créative et
productrice, - une République des droits
et des devoirs, - nos valeurs et nos lois
ne sont pas négociables, - notre démocratie et notre
souveraineté ne sont pas négociables. Et l’islamisme politique,
l’immigration et l’insécurité ? Ces 3 grands problèmes ne
sont pas mentionnés ! Sur la loi contre le
séparatisme, connaît-on vraiment son contenu ? Le refus d’asile fera-t-il
l’obligation de quitter le territoire français ? Porter plainte en ligne et
la mise en place de « forces d’action républicaines dans les
quartiers » permettront-ils d’obtenir des moyens nécessaires ? Le chômage disparu et le
pouvoir d’achat revenu, la construction de nouvelles prisons, l’augmentation de
moyens aux forces de l’ordre, et la restructuration de la justice, seront-ils
possibles ? De même, des mesures pour
donner moins de droits aux délinquants et plus de pouvoirs aux gendarmes et aux
policiers s’imposent. … En 2022, le 10 avril, Emmanuel Macron arrive en tête avec 27.85 % (9
783 058 voix) devant Marine Le Pen 23.15 % (8 133 828 voix), Jean-Luc Mélenchon 21.95 % (7 714 949 voix) - 73.69 % de votants et
26.31 % d’abstention -. LES RESULTAS DE L’ELECTION
PRESIDENTIELLE, le 24 avril 2022, donne 5 ans de plus à Emmanuel MACRON
avec 58.54% (18 779 641 voix) ; Marine Le Pen
41.46 % (13 297 760 voix) pour 48 752 500 inscrits - Abstentions
28.01 % Votants 71.99 % - Dans la Région PACA :
Emmanel Macron : ……. 49.52 %
Marine Le Pen : …… 50.48 % Dans les Alpes
Maritimes : Emmanuel Macron : .. 50.13 %
Marine Le Pen : …… 49.87 % Les élections législatives
auront lieu les dimanches 12 et 19 juin 2022, afin d’élire les 577
députés de la XVIème législature de la Vème République. Les françaises et les français
seront appelé(e)s à élire un parlementaire dans chaque circonscription, qui
aura pour mission d’élaborer et de voter des textes de lois. L'enjeu est considérable
: quelques semaines seulement après l'élection présidentielle, quelle sera la
couleur de la nouvelle Assemblée ? La question vaut pour
Emmanuel Macron mais aussi pour ses principaux rivaux, qui tenteront de créer
une force d'opposition au Parlement. Le doute existe très clairement sur
la capacité des candidats de droite ou de gauche ou surtout des extrêmes de constituer
un bloc majoritaire… Je remercie surtout tous les
journalistes et journaux et magazines : Les Echos, La Croix, L’Hebdo, Famille
Chrétienne, Le Pèlerin, Valeurs Actuelles, Bd Voltaire, Le Monde, Le Point,
L’Express, Challenges, L’OBS, Figaro Mag, Gala, Voici, Nice Matin, le Dauphiné
Libéré, France-Info, Paris Match, France Télévisions, Public-Sénat, Gouvernement, Insee, Elysée,
Marianne, Aleteia, Google, l’Internaute, Hérodote, Notre Temps, Courrier des
Retraités, Spelc, L’éléphant, Femme Actuelle, Liberté politique, Front
Populaire, Fde souche, Résistance Républicaine, Contre-points, HelloWorrkPlace, Sport-histoire.fr… sans
oublier mon fils Stéphane, monteur en site. L.A. Avril 2022. |
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